En 2011, une étude réalisée par TNS Sofres faisait le point sur les raisons qui ont poussé les Français à faire des travaux de rénovation énergétique. En tête figure la maitrise de l’énergie (37 %), suivie par la recherche d’une meilleure isolation (28 %) et un plus grand confort (26 %). Les 20 % restants concernent le remplacement d’un appareil ou d’une installation vétuste ou en mauvais état.
Bon à savoir : Le chauffage compte pour 80 % de la consommation d’énergie des ménages dans les maisons anciennes.
Autres enseignements de cette étude : Dans le cadre d’une rénovation énergétique, les travaux sur le bâti sont très majoritaires (72 %). Les travaux sur l’installation de chauffage, d’eau chaude et de ventilation représentent quant à eux 34 %, dont 14 % consistent en des interventions sur les chaudières / chauffe-eaux.
En moyenne par ménage, les travaux réalisés en 2011 ont coûté 4 517 €.
Bon à savoir : Selon les chiffres de l’ADEME, le chauffage électrique est passé de 24 à 28 % de 1990 à 2010. Le chauffage électrique équipe ainsi plus de 8 millions de ménages en France. Près de 60 % déclarent l’utiliser en chauffage principal et plus de 30 % en chauffage d’appoint. Dans les maisons individuelles il est fréquemment associé à un chauffage au bois.
L’énergie idéale n’existe pas dans l’absolu ! Chaque cas est unique et la meilleure énergie pour votre maison ne sera pas la même que celle de votre voisin. Pourquoi ? En fait le mode de chauffage idéal doit tenir compte du type de bâtiment, de la zone géographique, de l’utilisation qui est faite du logement et du budget disponible.
Ainsi les 5 critères à retenir sont les suivants :
La meilleure énergie pour chauffer toute une maison n’est souvent pas la même que celle destinée à chauffer juste une annexe ! De même, dans une maison principale déjà équipée d’un chauffage central par exemple, l’appoint de mi-saison sera choisi en fonction de critères particuliers. Dans les deux cas, une vraie différence est faite entre le chauffage principal et le chauffage d’appoint. En effet, le chauffage principal se doit d’être efficace, économe à l’usage, pratique d’utilisation et apporter un maximum de confort. Le chauffage d’appoint à l’évidence peut faire l’impasse sur l’excellence.
Dans le cas d’un chauffage principal, l’énergie privilégiée sera fonction des 4 critères suivants.
Dans le cas d’un chauffage d’appoint, les critères à prendre en compte dépendent essentiellement de l’utilisation escomptée. Pour un appoint de mi-saison en complément d’un chauffage principal, il faudra veiller au coût d’utilisation raisonnable et à un coût d’installation réduit (poêle à bois). Pour un chauffage d’appoint dans une pièce annexe peu occupée, chambre d’amis par exemple, le coût d’utilisation pourra être plus élevé mais le coût d’installation doit être au plus réduit (radiateurs électriques).
Les besoins en énergie dans une maison sont principalement occupés par le chauffage (80 % dans les maisons anciennes). Et les besoins en chauffage sont largement dépendants de critères techniques pour espérer un bon confort. Ces critères techniques sont notamment :
Du mode de chauffage choisi dépend le coût d’utilisation. Pour une surface comparable, le prix à payer chaque année* peut aller de 1 800 € par an pour un chauffage électrique classique, à 800 € par an pour un chauffage PAC en géothermie, en passant par environ 1 000 € par an pour un chauffage au gaz, un chauffage au fioul ou un chauffage au bois.
*Source Ajena : pour le chauffage d’une maison individuelle de 100m2 située à Lons-le-Saunier, (Jura), isolée suivant les règles de construction en vigueur en 1990, et pour la production d’eau chaude sanitaire d’une famille de 4 personnes soit un total de 16.000 kWh/an.
Bon à savoir : Améliorer l’isolation avant de remplacer son installation de chauffage permet de réduire la puissance nécessaire et donc de limiter l’investissement.
De nombreux chiffres circulent sur les coûts d’installation et d’utilisation des différents systèmes de chauffage selon les énergies. Ces chiffres font parfois le grand écart ! Pourquoi ? En fait la réponse tient souvent au mode de calcul. Certains chiffres intègrent en effet la production d’eau chaude tandis que d’autres se bornent au chauffage. De grandes variations peuvent également provenir du choix de la région d’implantation de la maison (consommation plus élevée au Nord qu’au Sud), et du choix du nombre de m2 et de l’isolation type de la maison. Les chiffres repris ci-dessous témoignent de ces différences, mais sont intéressants pour se faire une idée comparative du prix des énergies.
Selon Ajena, le chauffage d’une maison individuelle de 100m2 située à Lons-le-Saunier, (Jura), isolée suivant les règles de construction en vigueur en 1990, et pour la production d’eau chaude sanitaire d’une famille de 4 personnes soit un total de 16.000 kWh/an peut aller de 1 800 € par an pour un chauffage électrique classique, à 800 € par an pour un chauffage PAC en géothermie, en passant par environ 1 000 € par an pour un chauffage au gaz, un chauffage au fioul ou un chauffage au bois.
Selon les chiffres de la base Pégase du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, le coût d’utilisation selon les énergies diffère énormément.
En mars 2014, il en coûtait :
6,29 €/kWhPCI pour un chauffage à granulés de bois,
7,32 €/kWhPCI pour un chauffage au gaz naturel,
8,91 € €/kWhPCI pour un chauffage au fioul domestique,
14,86 €/kWhPCI pour un chauffage électrique,
14,82 €/kWhPCI pour un chauffage propane.
Ces prix, indiqués en c€/kWh (kWhPCI = Pouvoir calorifique inférieur), sont des prix complets (intégrant l’abonnement éventuel) pour une consommation donnée, couvrant des usages chauffage et eau chaude.
Coût d’installation entre 6 000 et 8 000 €, coût d’utilisation entre 1 500 et 2 500 € / an
L’énergie électrique équipe plus de 8 millions de ménages en France, et représente près de 28% des systèmes de chauffage installés. Facile à vivre au quotidien, le chauffage électrique est relayé le plus souvent par des convecteurs ou des panneaux rayonnants, et plus récemment par des planchers chauffants.
Au positif : Le chauffage électrique est facile à installer. Il suffit d’une prise de courant et le tour est joué. Peu cher à l’installation, nul n’est besoin de tuyaux et de chaudière. L’électrique est de ce fait le chauffage nécessitant l’investissement le plus faible. Facile également à utiliser, les radiateurs apportent rapidement de la chaleur dans une pièce. Les nombreux modèles récents développent des esthétiques de plus en plus élaborées (finition miroir, plinthe, etc). Disponible partout l’électricité ne demande pas de place dédiée au stockage.
Au négatif : Le coût d’utilisation est élevé. L’électricité fait ainsi partie des énergies les plus chères à l’usage pour le chauffage. Cet inconvénient peut partiellement être gommé en couplant l’installation avec des systèmes de régulation (zone jour, zone nuit).
Notre conseil : L’électricité est à réserver uniquement aux maisons très bien isolées ou en temps que chauffage d’appoint pour une pièce rarement chauffée.
A savoir : Avant d’installer un chauffage électrique, vous devez vérifier que votre installation est conforme à la norme NF C 15-100.
Coût d’installation entre 2 000 et 5 000 €, coût d’utilisation entre 1 000 et 1 200 € / an
Moins cher à l’utilisation que l’électricité, le gaz naturel propose un bon rapport qualité / prix. Distribué par les réseaux de gaz de ville, le gaz naturel n’est malheureusement pas disponible partout.
A noter : Nous parlons bien ici du gaz naturel et non du gaz propane (en cuve) dont les caractéristiques en terme de prix sont aux antipodes.
Au positif : Le gaz naturel est ultra facile à vivre. Il apporte une chaleur douce et homogène dans la maison pour un prix parmi les moins chers du marché. Le gaz ne nécessite pas de lieu dédié au stockage (citerne). L’alimentation se fait en continu, sans besoin de surveiller.
Au négatif : Le gaz naturel nécessite une installation complète de chauffage central incluant chaudière et circuit d’eau + radiateurs. Cette installation a un certain coût, et si ce coût est compensé par le faible prix du gaz naturel, il est important toutefois de noter que le prix du gaz est celui qui a le plus évolué à la hausse ces dernières années. Ce choix d’énergie suppose le passage à proximité du gaz de ville.
Coût d’installation entre 3 000 et 6 000 €, coût d’utilisation entre 1 600 et 1 800 € / an
Efficace et de moins en moins énergivore depuis l’arrivée sur le marché des nouvelles chaudières à basse température et à condensation, le chauffage au fioul reste dans la course malgré son coût d’utilisation assez élevé. Le chauffage au fioul représente aujourd’hui environ un cinquième du parc des chaudières.
Au positif : La chaleur diffusée est douce et homogène. Le rendement peut être très élevé lorsque l’installation s’appuie sur une chaudière de nouvelle génération.
Au négatif : Le fioul nécessite une installation complète de chauffage central incluant chaudière et circuit d’eau + radiateurs. Cette installation a un coût et représente donc un investissement. Le prix du fioul est en constante hausse ce qui rend difficile des projections sur le long terme. Le fioul nécessite également un espace dédié au stockage (citerne) et une surveillance régulière du niveau de réserve.
Coût d’installation entre 3 000 et 7 500 €, coût d’utilisation entre 900 et 1 200 € / an
Economique et écologique, le chauffage au bois reste une valeur sûre aujourd’hui. Via un poêle, une chaudière ou via une cheminée avec insert équipés d’un répartiteur de chaleur, le bois peut chauffer toute la maison à l’année ou ne venir qu’en appoint à la mi-saison.
Au positif : Le bois est une énergie renouvelable qui offre un bon rendement calorique dès lors que le poêle ou la cheminée utilisés sont de dernières générations. Le prix du bois est stable d’une année sur l’autre, et le coût de revient est parmi les moins chers du marché.
Au négatif : Le bois nécessite l’installation d’une chaudière ou d’un poêle au coût très variable selon le rendement souhaité. Le bois n’a rien de pratique au quotidien. Il nécessite une surveillance régulière pour garder la flamme allumée, et un vidage régulier des cendres. A cela s’ajoutent la place pour le stockage des stères de combustibles et le nécessaire travail de coupe, d’empilage et de réapprovisionnement. Toutes ces manipulations peuvent être réduites au minimum en optant pour une chaudière alimentée en pellet avec un système de vis sans fin.
Coût d’installation entre 6 000 et 20 000 €, coût d’utilisation entre 400 et 600 € / an
Hyper économique et écologique, la pompe à chaleur fonctionne à l’électricité sur le modèle d’un réfrigérateur inversé. Il existe 3 types de pompes à chaleur : air, eau ou sol.
Au positif : La pompe à chaleur par aérothermie ou géothermie consomme peu et ne nécessite que peu d’entretien.
Au négatif : Une pompe à chaleur nécessite l’installation d’un équipement complet incluant une chaudière PAC et un circuit de transport et de diffusion de chaleur (plancher chauffant le plus souvent). Cette installation est coûteuse et dans certaines régions particulièrement froides, il est conseillé de prévoir un chauffage d’appoint.
Cout d’installation entre 6 000 et 20 000 €, cout d’utilisation NC
Champion de l’écologie, le solaire consomme une énergie gratuite, par contre sont installation elle coûte chère. Surtout utilisé pour le chauffage de l’eau sanitaire, le solaire ne s’imagine encore à l’heure actuelle qu’en complément de chauffage.
Coefficient d’occupation des sols (COS) supprimé vignette
Créer une dépendance
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En 2011, une étude réalisée par TNS Sofres faisait le point sur les raisons qui ont poussé les Français à faire des travaux de rénovation énergétique. En tête figure la maitrise de l’énergie (37 %), suivie par la recherche d’une meilleure isolation (28 %) et un plus grand confort (26 %). Les 20 % restants concernent le remplacement d’un appareil ou d’une installation vétuste ou en mauvais état.
Bon à savoir : Le chauffage compte pour 80 % de la consommation d’énergie des ménages dans les maisons anciennes.
Autres enseignements de cette étude : Dans le cadre d’une rénovation énergétique, les travaux sur le bâti sont très majoritaires (72 %). Les travaux sur l’installation de chauffage, d’eau chaude et de ventilation représentent quant à eux 34 %, dont 14 % consistent en des interventions sur les chaudières / chauffe-eaux.
En moyenne par ménage, les travaux réalisés en 2011 ont coûté 4 517 €.
Bon à savoir : Selon les chiffres de l’ADEME, le chauffage électrique est passé de 24 à 28 % de 1990 à 2010. Le chauffage électrique équipe ainsi plus de 8 millions de ménages en France. Près de 60 % déclarent l’utiliser en chauffage principal et plus de 30 % en chauffage d’appoint. Dans les maisons individuelles il est fréquemment associé à un chauffage au bois
L’énergie idéale n’existe pas dans l’absolu ! Chaque cas est unique et la meilleure énergie pour votre maison ne sera pas la même que celle de votre voisin. Pourquoi ? En fait le mode de chauffage idéal doit tenir compte du type de bâtiment, de la zone géographique, de l’utilisation qui est faite du logement et du budget disponible.
Ainsi les 5 critères à retenir sont les suivants :
La meilleure énergie pour chauffer toute une maison n’est souvent pas la même que celle destinée à chauffer juste une annexe ! De même, dans une maison principale déjà équipée d’un chauffage central par exemple, l’appoint de mi-saison sera choisi en fonction de critères particuliers. Dans les deux cas, une vraie différence est faite entre le chauffage principal et le chauffage d’appoint. En effet, le chauffage principal se doit d’être efficace, économe à l’usage, pratique d’utilisation et apporter un maximum de confort. Le chauffage d’appoint à l’évidence peut faire l’impasse sur l’excellence.
Dans le cas d’un chauffage principal, l’énergie privilégiée sera fonction des 4 critères suivants.
Dans le cas d’un chauffage d’appoint, les critères à prendre en compte dépendent essentiellement de l’utilisation escomptée. Pour un appoint de mi-saison en complément d’un chauffage principal, il faudra veiller au coût d’utilisation raisonnable et à un coût d’installation réduit (poêle à bois). Pour un chauffage d’appoint dans une pièce annexe peu occupée, chambre d’amis par exemple, le coût d’utilisation pourra être plus élevé mais le coût d’installation doit être au plus réduit (radiateurs électriques).
Les besoins en énergie dans une maison sont principalement occupés par le chauffage (80 % dans les maisons anciennes). Et les besoins en chauffage sont largement dépendants de critères techniques pour espérer un bon confort. Ces critères techniques sont notamment :
Du mode de chauffage choisi dépend le coût d’utilisation. Pour une surface comparable, le prix à payer chaque année* peut aller de 1 800 € par an pour un chauffage électrique classique, à 800 € par an pour un chauffage PAC en géothermie, en passant par environ 1 000 € par an pour un chauffage au gaz, un chauffage au fioul ou un chauffage au bois.
*Source Ajena : pour le chauffage d’une maison individuelle de 100m2 située à Lons-le-Saunier, (Jura), isolée suivant les règles de construction en vigueur en 1990, et pour la production d’eau chaude sanitaire d’une famille de 4 personnes soit un total de 16.000 kWh/an.
Bon à savoir : Améliorer l’isolation avant de remplacer son installation de chauffage permet de réduire la puissance nécessaire et donc de limiter l’investissement.
De nombreux chiffres circulent sur les coûts d’installation et d’utilisation des différents systèmes de chauffage selon les énergies. Ces chiffres font parfois le grand écart ! Pourquoi ? En fait la réponse tient souvent au mode de calcul. Certains chiffres intègrent en effet la production d’eau chaude tandis que d’autres se bornent au chauffage. De grandes variations peuvent également provenir du choix de la région d’implantation de la maison (consommation plus élevée au Nord qu’au Sud), et du choix du nombre de m2 et de l’isolation type de la maison. Les chiffres repris ci-dessous témoignent de ces différences, mais sont intéressants pour se faire une idée comparative du prix des énergies.
Selon Ajena, le chauffage d’une maison individuelle de 100m2 située à Lons-le-Saunier, (Jura), isolée suivant les règles de construction en vigueur en 1990, et pour la production d’eau chaude sanitaire d’une famille de 4 personnes soit un total de 16.000 kWh/an peut aller de 1 800 € par an pour un chauffage électrique classique, à 800 € par an pour un chauffage PAC en géothermie, en passant par environ 1 000 € par an pour un chauffage au gaz, un chauffage au fioul ou un chauffage au bois.
Selon les chiffres de la base Pégase du ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, le coût d’utilisation selon les énergies diffère énormément.
En mars 2014, il en coûtait :
6,29 €/kWhPCI pour un chauffage à granulés de bois,
7,32 €/kWhPCI pour un chauffage au gaz naturel,
8,91 € €/kWhPCI pour un chauffage au fioul domestique,
14,86 €/kWhPCI pour un chauffage électrique,
14,82 €/kWhPCI pour un chauffage propane.
Ces prix, indiqués en c€/kWh (kWhPCI = Pouvoir calorifique inférieur), sont des prix complets (intégrant l’abonnement éventuel) pour une consommation donnée, couvrant des usages chauffage et eau chaude.
Coût d’installation entre 6 000 et 8 000 €, coût d’utilisation entre 1 500 et 2 500 € / an
L’énergie électrique équipe plus de 8 millions de ménages en France, et représente près de 28% des systèmes de chauffage installés. Facile à vivre au quotidien, le chauffage électrique est relayé le plus souvent par des convecteurs ou des panneaux rayonnants, et plus récemment par des planchers chauffants.
Au positif : Le chauffage électrique est facile à installer. Il suffit d’une prise de courant et le tour est joué. Peu cher à l’installation, nul n’est besoin de tuyaux et de chaudière. L’électrique est de ce fait le chauffage nécessitant l’investissement le plus faible. Facile également à utiliser, les radiateurs apportent rapidement de la chaleur dans une pièce. Les nombreux modèles récents développent des esthétiques de plus en plus élaborées (finition miroir, plinthe, etc). Disponible partout l’électricité ne demande pas de place dédiée au stockage.
Au négatif : Le coût d’utilisation est élevé. L’électricité fait ainsi partie des énergies les plus chères à l’usage pour le chauffage. Cet inconvénient peut partiellement être gommé en couplant l’installation avec des systèmes de régulation (zone jour, zone nuit).
Notre conseil : L’électricité est à réserver uniquement aux maisons très bien isolées ou en temps que chauffage d’appoint pour une pièce rarement chauffée.
A savoir : Avant d’installer un chauffage électrique, vous devez vérifier que votre installation est conforme à la norme NF C 15-100.
Coût d’installation entre 2 000 et 5 000 €, coût d’utilisation entre 1 000 et 1 200 € / an
Moins cher à l’utilisation que l’électricité, le gaz naturel propose un bon rapport qualité / prix. Distribué par les réseaux de gaz de ville, le gaz naturel n’est malheureusement pas disponible partout.
A noter : Nous parlons bien ici du gaz naturel et non du gaz propane (en cuve) dont les caractéristiques en terme de prix sont aux antipodes.
Au positif :